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01-GREFFE-DE-CHEVEUX-20-ANS 10 février 2025

Greffe de Cheveux à 20 ans : Un Guide Complet pour les Jeunes Hommes

Lecture : 6 min. par Antoine Bodyexpert

Contrairement aux idées reçues, la calvitie n’est pas un problème qui touche seulement les hommes âgés de plus de 40 ans. Certes, perdre ses cheveux concerne la moitié des hommes dépassant la cinquantaine. Pour les femmes, le problème est plus rare, puisqu’il ne concernerait que 2% d’entre elles : une alopécie associée le plus souvent à la ménopause. Mais selon les recherches et les statistiques disponibles sur le sujet, 25% des hommes commenceraient à perdre leurs cheveux dès l’âge de 20 ans ! Résultat : le recours à la greffe de cheveux se banalise chez les 18-34 ans, pour qui la perte de cheveux n’est pas qu’un problème esthétique, mais aussi synonyme de perte d’identité.

Selon les chercheurs, l’alopécie chez les jeunes est un problème socio-culturel plus étendu qu’il n’y paraît : elle apparaît de plus en plus tôt, et dans une société dominée par les réseaux sociaux où l’apparence physique est devenue prépondérante, cette calvitie précoce est source de complexes et de mal-être chez de nombreux hommes jeunes. Aujourd’hui, certains traitements médicamenteux et phytothérapiques (à base de plantes) aident à ralentir la progression de la chute de cheveux, mais jamais de l’arrêter. Seuls les implants capillaires permettent de retrouver ses cheveux. Mais est-il raisonnable, à 20 ans, d’opter pour une greffe de cheveux, alors que tout démontre qu’une calvitie ne peut se stabiliser qu’après 30-40 ans ?

Identifier les causes de l’alopécie précoce

La première étape dans le traitement d’une alopécie précoce, avec un recul de la ligne capillaire frontale parfois constaté dès l’âge de 15 ans, est d’en identifier les causes. Elle peut être provoquée par des facteurs génétiqueshéréditaireshormonaux ou des raisons externes, qu’il s’agisse de stress intense ou de malnutrition.

  • L’alopécie androgénétique : La cause la plus courante d’une perte de cheveux précoce est l’alopécie androgénétique, dûe à des troubles hormonaux. Une surproduction accrue de dihydrotestostérone (DHT), découlant d’une transformation de la testostérone, trouble la bonne production capillaire, en attaquant le follicule pileux, rendant les cheveux de plus en plus fins, pour finir par chuter. Ce dysfonctionnement hormonal n’est pas, en soi, un grave problème physiologique : nombre de ces hommes « virils », qui produisent plus de testostérone que la norme, ne sont pas forcément complexés, d’un point de vue esthétique, par leur perte capillaire. Pourvu qu’ils aient un crâne plutôt bien fait, leur manque de pilosité peut même être attirant et agréable pour certaines femmes. L’alopécie androgénétique a tendance à se stabiliser entre 30 et 50 ans, en même temps qu’une réduction de la surproduction de DHT, dûe à l’âge.

  • L’alopécie Areata : aussi appelée « pelade », ce type d’alopécie est une pathologie auto-immune se manifestant par une brusque perte de cheveux, qui peuvent partir par poignées sur certaines zones du crâne. Cette alopécie soudaine peut aussi résulter d’états psychiques d’angoisse, de stress ou d’anxiété, qui attaquent le système immunitaire de manière passagère : les sources de stress étant identifiées et guéries par un accompagnement psychologique, la pelade peut être passagère et les follicules pileux, toujours vivants et actifs, peuvent reprendre leur croissance normale. Certains traitements médicamenteux peuvent aussi provoquer une alopécie areata, comme une surdose d’antibiotiques, de contraceptifs ou de nutriments riches en vitamine A. Un traitement médical adapté peut permettre de voir les cheveux repousser à l’endroit de la pelade.
  • Carences nutritionnelles, vitaminiques ou minérales : la « malbouffe » peut sévèrement perturber l’organisme de nombreux jeunes. Certains peuvent alors entamer un régime alimentaire trop violent qui va provoquer une baisse importante d’apports nutritionnels et entraîner notamment une perte de cheveux précoce. Une carence en vitamines A ou B, en minéraux (fer, zinc), qui jouent un rôle crucial dans la pousse des cheveux, peut provoquer une chute de cheveux inhabituelle. Une visite chez un diététicien, pour corriger une mauvaise alimentation et redonner une nutrition équilibrée en vitamines, protéines, carbohydrates et minéraux, permet à l’organisme de reprendre un fonctionnement normal, et de relancer le fonctionnement habituel du système pileux.
  • Les troubles thyroïdiens : un dysfonctionnement pathologique de la glande thyroïde, située à la base du cou, peut chez certains adolescents provoquer une brusque chute des cheveux. La thyroïde joue en effet un rôle crucial dans la croissance capillaire.

Comment traiter l’alopécie précoce

Lorsqu’un jeune homme voit sa ligne de front reculer, et constate une baisse de la densité pileuse, la première étape est de consulter un médecin spécialisé. Celui-ci va prescrire plusieurs examens médicaux, notamment sanguins, pour tenter d’identifier les causes de cette alopécie précoce. Le cas échéant, le patient peut rapidement, en quelques années, déclarer une calvitie bien visible, entraînant un mal-être, des complexes et une gêne esthétique qui équivaut, psychologiquement, à un vieillissement prématuré.

Pourquoi la greffe de cheveux n’est généralement pas recommandée avant 25 ans

L’origine de l’alopécie précoce identifiée, le médecin pourra prescrire des traitements adaptés. Cependant, aucun traitement phytothérapeutique ou médicamenteux n’est aujourd’hui disponible pour enrayer l’inexorable avancée de la calvitie : il ne pourra que la ralentir. Le seul traitement définitif et certain demeure aujourd’hui la greffe de cheveux. De plus, les greffes capillaires s’adressent d’abord à des patients dont l’alopécie est stabilisée : tous les spécialistes conseillent de recourir à la greffe de cheveux à partir de 30 ans, l’âge auquel l’activité hormonale commence à se stabiliser.

Selon la gravité de la calvitie et les conséquences psychiques qu’elle entraîne pour le patient, il est évidemment possible d’entreprendre une greffe de cheveux avant 30 ans. Cependant, la calvitie continuera d’avancer, et le patient devra donc renouveler l’opération pour maintenir un équilibre esthétique. D’autant qu’une greffe prématurée peut laisser des traces visibles et frustrantes : la progression de la calvitie, autour des zones d’implantation capillaire, peut en effet donner un aspect esthétique peu naturel à la chevelure. De plus, la réussite de l’implantation capillaire dépend aussi de la qualité et de la quantité de greffons disponibles dans la zone donneuse du cuir chevelu ou les follicules pileux sont les plus vigoureux et nombreux. Or, le renouvellement répété d’une greffe implique une extraction renouvelée des follicules dans la zone donneuse, épuisant prématurément le potentiel folliculaire et compromettant, à long terme, la réussite des greffes à venir.

Les alternatives recommandées avant d’envisager une greffe

En attendant d’atteindre l’âge requis, le jeune patient peut entamer des traitements qui vont aider à stabiliser la chute de cheveux et ralentir la progression de l’alopécie. En cas de carences nutritionnelles, des compléments alimentaires et un accompagnement nutritionnel peuvent agir de façon efficace. En cas de maladie auto-immune, un accompagnement médical renforçant le système immunitaire peut aider. Dans le cas d’une alopécie androgénétique – la plus courante des alopécies précoces — plusieurs types de traitements pouvant réguler la production hormonale peuvent être prescrits. Selon les cas, l’ensemble de ces traitements sont généralement prescrits sur une période de plusieurs années, avant d’atteindre l’âge idéal pour la greffe de cheveux. Dans le cas de traitements naturels et/ou nutritionnels, ils peuvent se poursuivre après la greffe de cheveux, afin de continuer à donner plus de vigueur et de résistance aux follicules pileux. Enfin, la méso greffe capillaire est une nouvelle technique de médecine régénérative, basée sur l’injection de ses propres cellules souches, dont les résultats sont particulièrement prometteurs. D’autant que, contrairement à la greffe de cheveux, la méso greffe peut être appliquée dès les premiers signes avant-coureurs d’une alopécie précoce, sans besoin de renouveler le traitement plusieurs fois.

Traitements allopathiques (médicaments) :

Il n’existe à ce jour que deux médicaments disponibles pouvant aider à ralentir la progression de l’alopécie androgénétique (AAG), mais pas de l’arrêter : le Minoxidil et la Finastéride (commercialisée sous le nom de Propecia). De plus, ces médicaments doivent être pris à vie, et dès qu’on arrête le traitement, l’alopécie androgénétique reprend son cours… En raison de l’absence de données concernant la prescription simultanée de finastéride et de minoxidil, l’association nationale de sécurité du médicament (ANSM) ne recommande pas cette association dans le traitement de l’alopécie androgénétique. Si un médecin vous les prescrit ensemble, fuyez ! Les risques et les inconnues sont trop importants pour envisager l’absorption d’un tel cocktail. D’autant que dans le cas du Finastéride, certains effets indésirables graves ont été observés.

  • Minoxidil : Proposé en deux dosages (2% pour les hommes et les femmes, 5% pour les hommes), le Minoxidil doit s’appliquer à un rythme quotidien sur le cuir chevelu, sous forme de lotion ou de mousse, sans excéder la dose de 2ml par jour. Un ralentissement de la chute de cheveux a été observé, mais selon la Revue du Praticien, l’effluvium (chute de cheveux brusque et diffuse), peut arriver au début du traitement, « ce qui est un marqueur de bonne réponse ». La molécule active est un médicament « repositionné », conçu à l’origine pour soulager les ulcères gastriques, qui agit sur la vascularisation des follicules pileux. Le principal effet secondaire provoqué par le Minoxidil chez les patients atteints d’AAG sont des irritations, des démangeaisons et des sécheresses cutanées au niveau du cuir chevelu. Des baisses de tension, des vertiges et des maux de tête ont aussi été observés.
  • Finastéride : prescrite sous le nom de Propecia pour des AAG débutantes chez l’homme entre 18 et 41 ans, cette molécule serait en mesure de bloquer la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT). Comme le Minoxidil, la Finastéride est un médicament « repositionné », utilisé à l’origine pour soigner les troubles urinaires provoqués par une hypertrophie bénigne de la prostate. Cependant, la revue médicale Prescrire considère que le Propecia et ses génériques est « peu efficace », et a tellement d’effets indésirables qu’elle est classée, depuis 2019, dans sa liste des médicaments « plus dangereux qu’utiles ». Le Finastéride aurait en effet un certain nombre d’effets secondaires graves, tels que des réactions cutanées allergiques (démangeaisons, urticaire), une baisse de la libido, des troubles de l’érection et une diminution de l’éjaculat, des cas de gynécomastie (développement excessif des glandes mammaires), d’apparition de sang dans le sperme (hématospermie) et sur le plan psychologique, des changements d’humeur, de l’anxiété et des troubles psychologiques comme la dépression ou des envies suicidaires. D’autant que, selon l’association française d’aide aux victimes du finastéride (AFVIN), ces effets secondaires persistent après l’arrêt du traitement… Depuis avril 2023, un message et un QR code alertant sur ces risques de troubles sexuels et psychiatriques sont imprimés sur les emballages de Propecia et de ses génériques commercialisés en France.

Traitements naturels et phytothérapie

Des soins naturels, notamment à base d’huiles essentielles, sont aussi bénéfiques pour les cheveux et peuvent aider à ralentir l’alopécie. Contrairement aux médicaments allopathiques, ils n’ont aucun effet secondaire, et si leur efficacité est variable selon les patients, ils ne peuvent jamais faire de mal. Il est désormais prouvé que le romarin, la racine d’ortie, la capucine sont bons pour les cheveux. Associées, les huiles essentielles de cèdre, de Tea Tree et de Palmarosa aident aussi à ralentir la chute de cheveux, et à redonner du tonus au cuir chevelu. Pour plus d’efficacité, ces huiles essentielles peuvent être diluées dans une huile de sésame, d’amandes, d’olives ou de noix de coco, pour masser le cuir chevelu régulièrement (1 fois par semaine au moins).

La mésothérapie aux cellules souches mésenchymateuses

Depuis quelques années, la recherche médicale a fait des progrès considérables dans le domaine des cellules souches. Présentes dans l’organisme de tout être vivant multicellulaire, les cellules souches peuvent générer des cellules spécialisées par différenciation cellulaire, jouant un rôle crucial dans le développement des organismes et les maintenant en vie, qu’il s’agisse des tissus musculaires, osseux ou des organes. Si les cellules embryonnaires, présentes dans l’embryon humain, assurent la croissance du foetus et la constitution de l’être humain, les cellules souche mésenchymateuses sont présentes dans certaines parties de l’organisme adulte et peuvent, de manière indifférenciée (multipotentes), générer tout type de cellule. Quant aux cellules souches pluripotentes induites (CSPi), elles peuvent se répliquer indéfiniment et donner naissance à tous types de cellules présentes dans le corps humain, jouant un rôle crucial dans la médecine régénérative.

Dans le domaine de la méso greffe capillaire, il est désormais possible de générer de nouvelles papilles dermiques à partir de cellules souches mésenchymateuses prélevées dans le cuir chevelu. Un traitement révolutionnaire aux résultats très probants, avec des retours de patients très satisfaisants. Présentes dans les follicules pileux, ces papilles dermiques, qui assurent la croissance, la longueur et l’épaisseur des cheveux, peuvent générer de nouveaux follicules, stoppant l’inflammation et réactivant les cellules souches endommagées, notamment en cas d’alopécie androgénétique.

Le principe d’une méso greffe capillaire est de réaliser des micro greffes de cellules souches mésenchymateuses, en prélevant quelques follicules pileux avec la graisse et les tissus mésenchymateux qui les entourent, dans le cuir chevelu du patient. Ce prélèvement sera généralement réalisé dans une zone d’un centimètre carré à l’arrière du crâne, partie donneuse fournie et insensible aux dérèglements hormonaux induits par l’alopécie androgénétique. Il suffit de prélever trois ou quatre greffons, avec une fine lame venant gratter l’épiderme, pour créer un concentré cellulaire qui sera cultivé et dilué dans du sérum physiologique, avant qu’il ne soit réintroduit, par micro-injections, dans les zones dégarnies du cuir chevelu.

Une seule séance de méso greffe est suffisante pour stopper la chute de cheveux et épaissir la chevelure encore existante, suivie d’une séance chaque année ou tous les deux ans pour entretenir cette croissance. Agissant sur les bulbes pileux encore présents, la méso greffe capillaire est donc parfaitement adaptée aux jeunes hommes atteints d’alopécie androgénétique, dont la chute de cheveux n’a pas encore atteint le stade 5 de l’échelle de Norwood- Hamilton. Les premiers résultats sont visibles trois mois après le traitement, avec une production accélérée de nouveaux follicules pileux et un épaississement de la chevelure existante. Une méso greffe capillaire est généralement associée avec un traitement PRP (Plasma Riche en Plaquettes), pour booster la croissance des greffons. Une mésogreffe capillaire peut aussi être réalisée en amont d’une greffe de cheveux FUE, pour un traitement plus couvrant et durable. Enfin, cerise sur la couronne, ce traitement non invasif et sans douleur, porteur de grands espoirs thérapeutiques pour les jeunes patients atteints de calvitie, n’induit aucun effet secondaire.

Traitement PRP

Le traitement PRP consiste à prélever une petite quantité de sang du patient, qui sera ensuite passé en centrifuge pour séparer le plasma, les plaquettes et les autres composants sanguins. Une fois enrichi en plaquettes, le sang est réinjecté par micro-injections dans le cuir chevelu du patient. Réalisée sous anesthésie locale, l’opération est indolore et les résultats rapidement visibles. L’injection de PRP permet d’enrayer la perte de cheveux lorsque l’alopécie est encore peu déclarée, stimulant la repousse dans les zones clairsemées ou dégarnies. Pour un traitement optimal, plusieurs séances peuvent être nécessaires : compter 5 séances, espacées de 5 semaines, dans le cas d’une alopécie précoce. Le traitement PRP peut idéalement s’associer à une mésogreffe capillaire et/ou à une greffe de cheveux FUE.

La Greffe de Cheveux FUE, meilleure solution contre la calvitie précoce

De tous les traitements anti-calvitie, la greffe de cheveux FUE est le seul traitement sûr et définitif. Quelle que soit la cause de la calvitie précoce, l’implant capillaire est le meilleur allié pour retrouver sa chevelure et sa sérénité. Une fois la cause de l’alopécie identifiée, selon l’avancée de la perte de cheveux et l’âge du patient, une greffe de cheveux pourra être réalisée à l’âge convenant le mieux à l’état de l’alopécie androgénétique, la cause la plus fréquente de l’alopécie précoce. Il est cependant préférable d’attendre la stabilisation de l’activité hormonale -autour de 30 ans chez l’homme- pour réaliser la greffe de cheveux.

Le traitement consiste à prélever des unités folliculaires dans la zone arrière du crâne, l’occiput, ou les follicules pileux sont les plus actifs et vigoureux, et où ils sont épargnés par la transformation de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT), qui provoque l’alopécie androgénétique et la chute de cheveux. Au cours d’une opération réalisée sous anesthésie locale, les bulbes pileux sont extraits de la zone receveuse, pour être directement implantés, un par un, dans la zone receveuse, généralement entre le front et la couronne du crâne. Pour optimiser les résultats d’une greffe de cheveux PRP, le spécialiste peut réaliser conjointement un traitement PRP, pour « booster » la pousse des follicules nouvellement implantés, et réaliser des mesogreffes capillaires sur les zones encore peu dégarnies. Ainsi, la repousse sera plus uniforme, et la progression de la calvitie sera stoppée dans les zones non couvertes l’implantation capillaire, mais pas totalement épargnées par l’avancée de l’alopécie.

Une combinaison de traitements, idéale pour la calvitie précoce

Décider de réaliser une greffe de cheveux pour réparer une calvitie précoce doit être mûrement réfléchie et accompagnée d’une évaluation médicale stricte et complète, réalisée par un médecin spécialiste. La stabilisation de la calvitie étant rarement atteinte à 20 ans, nombre de jeunes atteints d’alopécie précoce devront attendre 5, voire 10 ans avant de faire des implants capillaires.

En attendant cette stabilisation, plusieurs solutions peuvent être envisagées. Dans tous les cas, une vie sans stress et une alimentation équilibrée, accompagnée de nutriments et de vitamines adaptées, sont les piliers d’une bonne santé capillaire. Le jeune homme peut ensuite envisager une méso greffe capillaire, si ses moyens lui permettent : le traitement demeure coûteux, et mieux vaut se tourner vers le tourisme médical, notamment Istanbul et la Turquie, pour accéder aux meilleurs traitements à des tarifs souvent inférieurs de 60 à 80% par rapport aux prix pratiqués en France, en Suisse ou en Belgique. Parallèlement à ces méso greffes, plusieurs séances de micro-injections de PRP aideront à la réussite du traitement régénératif. Enfin, une fois l’alopécie stabilisée, toutes les garanties seront réunies pour entamer une première greffe de cheveux FUE, qui pourra être suivie, 10-15 années plus tard, par une seconde greffe de cheveux FUE, pour « remplir » des zones nouvellement clairsemées.

Sources

True, R. H. (2021). Is Every Patient of Hair Loss a Candidate for Hair Transplant?—Deciding Surgical Candidacy in Pattern Hair Loss. Indian Journal of Plastic Surgery, 54(4), 435-440. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8719975/

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