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Les opticiens le détestent : depuis son invention aux Etats-Unis en 1999, la correction de la vision par laser, opération de chirurgie oculaire basée sur l’utilisation du laser excimer, a permis à plus de 20 millions de personnes de se débarrasser de leurs lunettes, ou de leurs lentilles, et de retrouver une vision parfaite. Et chaque année, plus de 700 000 personnes à travers le monde font appel à cette technique pour corriger, ad vitam eternam, leur problème de vue : myopie, astigmatisme, hypermétropie ou presbytie.
Le laser excimer, apparu dans les années 1990, est une technologie de laser à gaz émettant des “spots” de rayon ultraviolet, permettant de remodeler la cornée afin d’en modifier la courbure, avec une très haute précision (de l’ordre du quart de micron). Cette précision autorise deux types de chirurgie réfractive : le laser de surface (PKR), utilisé pour l’astigmatie et la moyenne myopie, et le laser Lasik, qui peut traiter tout problème de vision, à condition d’avoir des paramètres d’épaisseur de cornée très stricts. Le cas échéant, le spécialiste se tournera vers le laser de surface.
Lasik, emprunté autant de l’anglais que du grec ancien, est l’acronyme de “Laser-assisted in situ keratomileusis.” Le traitement Lasik, qui signifie précisément “sculpter la cornée en son sein avec l’assistance du rayon laser”, est aujourd’hui la technique de chirurgie cornéenne la plus utilisée et la plus courante dans le monde de l’ophtalmologie. Elle est rapide, précise, efficace, indolore, sûre et non invasive.
L’intervention implique deux étapes. La première consiste à réaliser une micro-incision sur la cornée et découper, avec un scalpel miniaturisé nommé microkeratome, le tissu cornéen, afin de le décoller et le plier partiellement, et ainsi pouvoir intervenir sur la rétine. La seconde étape fait intervenir le laser, qui aplanit la cornée et corrige les défauts rétiniens à l’origine des troubles de la vision. Le tissu cornéen est ensuite remis en place, l’ensemble de l’opération ne dépassant pas une quinzaine de minutes par œil.
Aujourd’hui, grâce aux progrès technologiques, la première étape manuelle, demandant au chirurgien une extrême précision dans la manipulation du microkératome, a été remplacée par un laser femtoseconde, qui permet de fendre ou de cliver la cornée par une action photo-disruptive, un “flash” laser dont la durée -la femtoseconde- est très inférieure à la nanoseconde. Bref, ça va très vite, et le risque de lésions tissulaires adjacentes est ainsi évité.
Plusieurs types de lasers femtoseconde sont à la disposition des chirurgiens ophtalmologistes : l’IntraLase FS150 (Abbot Medical Optics) ; le LDV Da Vinci (Ziemer) ; le Femtec (Technolas Perfect Vision) ; le Visumax (Zeiss Meditec) ; l’UltraFlap 200 (Wavelight Alcon). Le plus couramment utilisé dans le monde, notamment dans les cliniques ophtalmologistes d’Istanbul, est l’Intralase, premier laser femtoseconde créé au monde (en 2001) et aujourd’hui considéré comme le plus fiable et efficace, et le plus adapté aux différents types de cornées. A tel point que l’intraLasik est devenue un terme générique désignant le traitement “tout laser”, incluant le laser femtoseconde et le laser excimer.
Le principe de la Lasik est d’intervenir sur la cornée en corrigeant ses défauts qui entraînent les différents troubles visuels. Grâce au laser excimer, le chirurgien va remodeler l’épaisseur de la cornée, en intervenant sur le tissu transparent cornéen, constitué de deux couches : le stroma et l’épithélium. Le stroma, qui compose 90% de la cornée, est constitué de lamelles de collagènes qui donnent la résistance, la transparence et la forme galbée du tissu cornéen. L’épithélium couvre la cornée, permettant au film lacrymal de s’y étaler. Celui-ci est partiellement retiré, soit par microkératome, soit par laser femtoseconde, afin que le chirurgien puisse procéder à la sculpture du stroma, avec le laser excimer. Les défauts de la cornée ainsi corrigés, le patient va retrouver une vision parfaite, d’environ 20/40.
Juste après l’intervention, la vision demeure trouble pendant une ou deux heures. Il est donc interdit de conduire. Il est nécessaire de laisser reposer ses yeux durant le reste de la journée. La plupart des patients recouvrent la vue le lendemain, et peuvent retourner au travail le surlendemain. Une sensation de sécheresse oculaire peut survenir les jours suivants, réglée par quelques gouttes de sérum physiologique.
Les effets secondaires d’une Lasik sont rares, mais peuvent apparaître dans les jours suivant l’opération : problèmes de visions nocturnes, yeux secs, halos autour des sources lumineuses, qui peuvent durer quelques jours, voire au maximum six mois. Dans ce cas, votre clinique ophtalmologiste vous prescrira des gouttes hydratantes et antibiotiques. Les complications post-opératoires sont quasi-inexistantes. Parfois, un mouvement du capot peut apparaître, après un choc ou s’être frotté l’œil. Un retour au bloc opératoire sera alors nécessaire pour sa remise en place.
Pratiquée depuis une vingtaine d’années, la Lasik est une technique sûre et courante : les ophtalmologistes expérimentés dans ce domaine sont nombreux et faciles à trouver, les risques post-opératoires sont quasi-nuls, la procédure est rapide et saine et l’opération est valable pour la vie. Par rapport à la PKR (laser de surface), elle est beaucoup moins douloureuse et la récupération de la vision est quasi-instantanée, alors qu’il faut attendre 3 à 7 jours pour une PKR.
Les examens préopératoires sont nécessaires pour déterminer d’éventuelles contre-indications à la chirurgie réfractive par laser excimer, laser Lasik et/ou femtoseconde. Ils vont identifier les caractéristiques topographiques de la cornée et le degré de correction nécessaire. Pour une géométrie cornéenne irrégulière ou une cornée trop fine, le chirurgien prescrira un laser de surface PKR. Enfin, certaines pathologies cornéennes comme le kératocône ou la kératite seront incompatibles avec une chirurgie laser.
La rapidité d’exécution, la sécurité, la régularité et la qualité de découpe, le contrôle sur la programmation de la découpe et le centrage optimal sur la pupille offerts par l’intralasik, ou d’autres lasers femtosecondes, sans oublier sa nature non-invasive, en font une technologie bien plus avantageuse que le microkératome. De plus, l’intralase est équipé d’un “eyetracker”, système automatisé de détection et de compensation en temps réel des mouvements de la pupille, autorisant le meilleur centrage du rayon laser, même si l’œil bouge.
Un effet secondaire spécifique a été identifié par les utilisateurs de l’Intralase : le syndrome de la sensibilité lumineuse transitoire (TLSS), qui touchait moins de 1% des patients avant 2004, et dont les victimes affirment avoir une extrême sensibilité à toute source lumineuse. Cet effet de photophobie surviendrait entre 2 et 6 semaines après l’opération. Selon le constructeur Johnson & Johnson, ce problème aurait été corrigé dans les dernières générations de machine. Ce syndrome, qui n’affecte pas l’acuité visuelle, peut être résolu par une prescription de steroids oculaires.
Un autre inconvénient concernerait l’IntraLasik : la machine, très coûteuse, n’est pas très répandue en France, la plupart des cliniques oculaires préférant d’autres marques de laser femtoseconde, ou préférant utiliser le microkératome. En revanche, à Istanbul, les cliniques et chirurgiens ophtalmologistes partenaires de Body Expert disposent de l’IntraLasik et sont expérimentés à son usage.
En France, la Sécurité Sociale ne rembourse pas la chirurgie réfractive oculaire, la considérant comme une opération de confort. Elle est partiellement remboursée par les assurances mutuelles, selon un barème qui diffère selon les compagnies et les types de contrats. Si en Europe de l’ouest, le coût d’une telle opération demeure élevé (compter entre 1500 et 3000€ par œil), les prix pratiqués par les cliniques ophtalmologiques à Istanbul en Turquie, sont moins élevés d’au moins 50%. Les prix indiqués ici incluent l’opération Lasik avec Intralase pour les deux yeux.