Greffe de cheveux FUE afro
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Chirurgien de classe mondiale, plus de 50 000 greffes réalisées
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Body Expert est N°1 sur la greffe de cheveux en Turquie
Au chapitre des chutes de cheveux, pour les hommes comme pour les femmes, toutes les origines ethniques capillaires ne poussent pas sur un pied d’égalité. Ainsi, l’alopécie est bien moins répandue en Asie que parmi la population européenne, mais elle affecte encore plus la population d’origine africaine, et notamment les femmes : 70 à 80% des femmes noires américaines en souffriraient. D’ailleurs, plus de 80% de cette population porterait des perruques, tissages ou tresses : un business estimé à plusieurs milliards de dollars par an rien qu’aux Etats-Unis… Le sujet est d’ailleurs aussi répandu qu’il est tabou : le baroud de l’acteur Will Smith, lors de la dernière cérémonie des Oscars, qui en est venu aux mains pour sauver l’honneur de sa femme atteinte d’alopécie, n’en est qu’une récente illustration. Selon une récente enquête du Centre Epidémiologique de l’Université de Boston, menée auprès de 6000 femmes d’ascendance africaine, près de la moitié d’entre elles ont déclaré avoir perdu leurs cheveux au niveau de la couronne, principalement dû à la maltraitance capillaire, provoquant une alopécie de traction.
Plusieurs raisons spécifiques expliquent l’ampleur du phénomène. Les caractéristiques des cheveux crépus et du cuir chevelu afro, les habitudes de coiffage et les pathologies capillaires spécifiques aux peaux noires sont des facteurs aggravants. Autant d’éléments fondamentaux à prendre en compte pour que les patients puissent trouver les meilleures réponses à leur problème, et pour les aider à choisir le traitement le plus adapté et les chirurgiens les plus expérimentés pour la greffe de cheveux crépus. Une spécialité que se sont appropriées certaines cliniques d’Istanbul, en Turquie, destination de tourisme médical dont la réputation internationale n’est plus à faire, autant pour l’excellence médicale que pour le rapport qualité/prix imbattable dans le domaine de la greffe de cheveux.
Les cheveux de type afro diffèrent grandement de ceux de la peau blanche ou asiatique, à commencer par leur densité : 90 000 cheveux en moyenne par crâne, contre 110 000 pour la population européenne, ou 150 000 chez les Asiatiques. La tige pilaire des cheveux crépus, de forme ovale, et le bulbe pilaire asymétrique des follicules, confèrent au cheveu des boucles serrées et une plus grande fragilité. Aussi, la forme crépue et les caractéristiques du cuir chevelu exposent les follicules pileux plus facilement aux traumatismes extérieurs. Enfin, le cheveu est plus épais, plus sec, et pousse plus lentement.
Selon les observations scientifiques et hospitalières menées sur le sujet, les femmes noires consultent plus fréquemment que les femmes blanches pour un problème de chute de cheveux. Comme pour les peaux européennes, le contexte hormonal et génétique y jouent leur rôle. Mais à cause de la mode, des habitudes culturelles, ethniques ou familiales, des difficultés de coiffage ou de contraintes liées au climat, les femmes noires ou afro-antillaises ont largement adopté l’utilisation de styles de coiffure particuliers très néfastes pour leurs cheveux, comme le tressage, le défrisage et le lissage des cheveux. Les ajouts et les extensions augmentent aussi la tension sur les racines. Des soins capillaires néfastes, des colorations synthétiques et des produits endommageant les follicules, comme la colle pour tenir les tresses, ajoutent au traumatisme. Sans compter les racines tirées à l’excès sous le sirocco du sèche-cheveux ou un cuir chevelu qui étouffe sous des perruques, tout cela provoque une forme d’alopécie très développée chez les femmes afro-américaines : l’alopécie cicatricielle centrifuge centrale du vertex (ACCCV), encore appelée syndrome du peigne chaud.
Si elle n’a pas de spécificité d’origine ethnique, cette alopécie par traction est une cause très fréquente de chute de cheveux chez la femme noire. Nattes, tresses plaquées en “champ de maïs”, mais aussi “dreadlocks” à la mode rasta chez les fans de reggae, tirent les follicules et provoquent de nombreux micro-traumatismes sur le cuir chevelu. Et à voir les petites filles d’origine africaine ainsi coiffées de mini tresses ultra tendues, le problème peut commencer dès l’enfance. Surtout auprès des femmes âgées de plus de quarante ans, le mal affecte aujourd’hui la population féminine afro de manière phénoménale, dans le monde entier.
A cause de leurs différentes spécificités, les cheveux crépus ne sont pas les plus faciles à greffer, et les procédures à respecter durant une greffe de cheveux afro peuvent différer. Certes, les spécialistes de la greffe de cheveux noirs se félicitent d’une zone donneuse plus étendue. Un bien pour un mal : chez les patients africains, à cause de la forme courbée du poil, le risque de transsection (follicule prélevé sans le bulbe) lors du prélèvement des greffons est plus élevé par rapport aux patients européens.
D’où l’intérêt de la greffe de cheveux FUE manuelle, une technique d’extraction des unités folliculaires plus précise et plus efficace, mais aussi plus longue et plus chère. Contrairement à l’extraction réalisée avec un micro-punch à moteur, la transplantation des greffons, depuis la zone donneuse vers la zone de réception, s’effectue avec un poinçon manuel, le chirurgien opérant une rotation alternée autour du follicule avant de l’extraire avec une micro-pince. Le chirurgien contrôle ainsi mieux son geste, et l’adapte mieux aux conditions physiologiques du cuir chevelu.
Plus précise, moins invasive et moins traumatisante pour l’épiderme capillaire, la FUE manuelle garantit une meilleure survie du follicule, avec un taux de transsection (perte du greffon) de 1 à 3%, alors que le taux de transsection atteint 10 à 15% avec une intervention en micro-punch motorisé (la greffe de cheveux IFA), conduite par un chirurgien expérimenté. Les greffons voisins et la zone donneuse sont mieux préservés, l’épiderme est moins abimée par l’opération (absence d’ecchymoses et de cicatrices), et le cheveu repousse mieux dans la zone donneuse. Ainsi au bout de 48h, la zone donneuse est déjà cicatrisée, offrant une transplantation plus discrète. Surtout, les follicules sont implantés de manière plus dense, offrant une repousse plus fournie et plus naturelle. Ce qui convient particulièrement aux cheveux crépus, plus denses à la repousse, ainsi qu’au cuir chevelu des patients afro, dont l’épiderme cicatrise moins vite et de manière différente que la peau européenne.
Autant de caractéristiques qui soulignent la nécessité de choisir un chirurgien familier avec la greffe de cheveux crépus, et suffisamment expérimenté pour mener une greffe capillaire manuelle.
Enfin, l’utilisation de la technique PRP (Plasma Riche en Plaquettes) pour mieux fertiliser les greffons dans la zone receveuse et leur garantir un meilleur taux de repousse, est conseillée en traitement complémentaire d’une greffe de cheveux crépus. Une option d’ailleurs systématiquement proposée par Body Expert pour les greffes de cheveux FUE manuelles.