Augmentation Mammaire en Turquie

L’augmentation mammaire, plus d’un million de femme concernées en France

Dans le domaine de la chirurgie esthétique, la chirurgie des seins est l’une des interventions les plus pratiquées au monde. Les femmes sont de plus en plus nombreuses à se refaire les seins, estimant que la nature les a pourvu de trop petits petons, ou parce qu’elles ont vu leur poitrine fondre après une grossesse ou une perte de poids. L’augmentation mammaire concernerait ainsi près d’un million de femmes en France. Mais la chirurgie des seins n’inclut pas que la pose d’implants mammaires. Le lifting des seins, ou mastopexie, est très en vogue, ainsi que le lipofilling, une augmentation mammaire limitée en volume, consistant à auto-greffer sa propre graisse.

Quels que soient les besoins de chacune et comme toute opération de chirurgie plastique, la chirurgie des seins n’est jamais anodine. Il faut être sûre de son choix, et envisager de retourner sur le billard pour remplacer ses implants au moins une fois dans sa vie, voire deux ou trois fois si la patiente a moins de 25 ans. Réalisée sous anesthésie générale, elle nécessite les meilleures conditions cliniques et des équipes médicales au top.

Pourquoi choisir la Turquie pour son augmentation Mammaire ?

Cependant, les prix pratiqués en France font réfléchir plus d’une patiente : il faut compter entre 4000 et 7000€ pour une augmentation mammaire, selon l’opération voulue.

Nombreuses sont celles qui se tournent alors vers le tourisme médical, lorsque les tarifs à l’étranger fondent de moitié, voire plus. Reste à choisir la bonne destination. Si les cliniques esthétiques françaises tentent de décourager en brandissant les risques d’un tel choix (infection, mauvaise cicatrisation, affaissement de l’implant…), la Tunisie et le Brésil sont parfois mis à l’index, notamment pour des infections à mycobactérie atypique, qui peuvent entraîner de graves septicémies. Mais les accidents restent rares, et dans ce domaine, l’image de la Turquie demeure excellente. Ainsi les cliniques esthétiques d’Istanbul, en Turquie, bénéficient d’une réputation internationale, avec des infrastructures médicales ultramodernes, la meilleure qualité de services et d’hygiène possible, et des chirurgiens esthétiques très expérimentés et rompus aux meilleures pratiques américaines ou européennes.

Quel est le prix moyen d’une augmentation mammaire en Turquie ?

Les prix pratiqués en Turquie pour une augmentation mammaire sont inférieurs de 50 à 70% par rapport à ceux pratiqués en France.

Des exemples ? Avec les chirurgiens experts sélectionnés par l’agence Body Expert, à Istanbul en Turquie, un lippofilling est facturé entre 3500€ et 4500€ ; une augmentation mammaire avec implants silicone dernière génération, entre 2750€ et 3750€ ; une mastopexie, entre 2750€ et 2900€, et pour un lifting des seins associé à une augmentation mammaire en implants dernière génération, il faut compter entre 2900€ et 3750€.

Quelles sont les indications de l’augmentation mammaire ?

L’augmentation mammaire peut être choisie pour des raisons esthétiques, mais aussi médicales, notamment suite à un cancer du sein ayant parfois nécessité une ablation.

Dans de nombreux cas, il s’agit de corriger une légère ptose mammaire (affaissement du sein), avec une perte de volume limitée du sein, suite à une grossesse ou un amaigrissement. Si le relâchement est important, une mastopexie pourra sera prescrite par le chirurgien, pour faire remonter le mamelon au niveau du sillon mammaire.

Selon les choix esthétiques de la patiente, selon la tonicité et l’épaisseur de la peau, la forme et le positionnement des seins, la place des aréoles et la forme du thorax, le chirurgien exposera les différentes options chirurgicales, les formes et tailles de prothèses possibles. Sur la base de photographies, des simulations numériques pourront être réalisées, pour aider à choisir la silhouette la plus harmonieuse.

Les différentes interventions de chirurgie des seins esthétique

Mastopexie, ou lifting des seins

Le redrapage des seins, appelé communément lifting des seins ou mastopéxie, a pour but de remonter le sein, lui donner rondeur et galbe, et corriger une asymétrie. Il consiste à retirer l’excès de peau et de retendre la poitrine affaissée. L’opération, sous anesthésie générale et précédée d’une mammographie, dure entre 1h et 1h30.

En fonction de l’importance de l’affaissement et de l’excès de peau à retirer, le chirurgien pratique une incision soit aréolaire (autour du mamelon), soit verticale (du mamelon au pli sous le sein, ou bien en T inversé (autour du mamelon puis en descendant et en suivant le pli du sein).

Augmentation mammaire par Lipofilling

Pour les femmes souhaitant se refaire les seins sans trop ajouter de volume, le lipofilling est une méthode moins invasive que les prothèses mammaires.

Souvent utilisée après une chirurgie d’ablation du sein (cancer…), cette méthode consiste à se faire injecter sa propre graisse, de manière naturelle et progressive. Les cellules graisseuses sont prélevées stérilement en bloc opératoire par lipoaspiration sur certaines parties du corps (ventre, cuisses ou hanches), passées en centrifugeuse, puis réinjectées dans les seins. Le résultat est durable, offre un aspect et un toucher très naturel, sans cicatrice ni corps étranger, et ne brouille pas l’interprétation d’une mammographie. En revanche, une partie de la graisse injectée se résorbant, il est parfois nécessaire de faire des retouches ou corriger une éventuelle asymétrie en renouvelant l’opération une ou plusieurs fois.

Augmentation mammaire avec implants mammaires

La pose d’implants mammaires en silicone nouvelle génération est aujourd’hui la méthode la plus fiable et la plus demandée pour les femmes souhaitant une augmentation mammaire.

Depuis 2001, les chirurgiens esthétiques utilisent une enveloppe de prothèse en gel de silicone cohésif, à fermeté variable, bien plus fiable et adapté au corps humain. Il existe aussi des implants remplis de sérum physiologique, qui ne présentent aucun risque en cas de rupture, mais offrent un toucher moins ferme. Selon la forme, la projection ou la texture du sein désiré, les patientes disposent d’une dizaine de choix dans chaque taille de bonnet. La texture et la tonicité de la peau seront pris en compte, limitant le volume et le poids des prothèses pour ne pas accentuer le relâchement naturel de la poitrine.

Selon la morphologie de la patiente, le chirurgien introduira les implants soit par voie aréolaire, soit par voie axilaire (incision dans l’aisselle), ou parfois sous-mammaire, en incisant en suivant le pli sous le sein, notamment s’il s’agit de prothèse en polyuréthane. Selon la nature et l’épaisseur de la peau, la prothèse sera placée devant ou derrière (rétro-pectoral) le muscle grand pectoral.

Comment se passe la convalescence ?

Après l’opération et suite à l’anesthésie générale, la patiente reste généralement une nuit en clinique. Des courbatures seront ressenties au niveau du thorax, et les premiers mouvements peuvent être douloureux. Une semaine de convalescence au minimum sera conseillée par le chirurgien, et un soutien gorge de contention pourra être prescrit.

Pour améliorer la cicatrisation durant les semaines suivantes, une pommade sera appliquée en massage doux sur les cicatrices, dont l’aspect rouge s’estompe après un à deux mois, pour laisser place à un fin trait blanc, presque invisible. Les soutiens gorges en armature métalliques sont à éviter, pour ne pas perturber la cicatrisation. Les mamelons redeviendront sensibles au bout de quelques mois. La reprise d’activités sportives sera progressive, et l’exposition au soleil sera déconseillée pendant plusieurs mois. La nouvelle poitrine prendra son aspect définitif après 3 à 6 mois. L’allaitement demeure possible avec des implants, les glandes mammaires n’étant pas touchées durant l’intervention.

Quels sont les risques de l’augmentation mammaire ?

Après le scandale des prothèses de fabrication française PIP, qui avait exporté dans le monde entier des prothèses dont le gel de silicone pouvait migrer à travers la paroi de l’implant et provoquer des maladies “auto-immunes” (poluarthrite, sclérodermie, fibromyalgie…), et avaient entraîné de nombreux accidents dans les années 1990, un moratoire a interdit entre 1995 et 2001 l’utilisation d’implants en gel de silicone dans la plupart des pays du monde. L’apparition, en 2001, d’implants en gels de silicone cohésifs, plus denses et moins dangereux en cas de rupture, a réhabilité l’utilisation de prothèses d’augmentation mammaires.

Après l’implantation des prothèses, des effets secondaires sont possibles. La persistance d’hématomes peut nécessiter une ré-intervention, sans impact sur le résultat final. La perte de sensibilité du mamelon et/ou du sein, fréquente durant les premières semaines, impacterait entre 3 et 15% des patientes à plus long terme. Certains implants, placés en position rétro-pectorale, peuvent bouger lorsque le muscle pectoral se contracte, et entraîner une gêne dans les mouvements et sur le plan esthétique. Une intervention peut alors s’avérer nécessaire.

La prothèse mammaire subissant aussi les outrages du temps, elle doit être régulièrement surveillée pour éviter toute fuite dans l’organisme, surtout après 8-10 ans. Les implants, en sérum physiologique ou en silicone dense, sont aisés à remplacer. D’où la nécessité de prendre soin de vos avantages, et de contacter votre chirurgien dès la moindre anomalie, déplacement ou dégonflement de vos seins.

Pour le lifting des seins, une mastopexie mal opérée peut parfois entraîner une mauvaise cicatrisation, une nécrose cutanée ou une asymétrie des mamelons. Elle peut aussi provoquer une perte de sensibilité des seins et des mamelons. Enfin, le lipofilling, bien moins invasif, ne présente quasiment aucun risque.